"On nous a dit qu'ils avaient peur d'être complices de crimes contre l'humanité en utilisant cet argent pour acheter des munitions interdites, telles que des bombes à fragmentation", indique le communiqué.
Amnesty International a récemment confirmé que l’Arménie avait utilisé des bombes à fragmentation contre des civils lors de l’attaque contre Berdé de l'Azerbaïdjan.
"Les mêmes banques et autres organes compétents examinent si les banques n'ont pas respecté les obligations AML / CTF (loi relative à la lutte contre le blanchiment et contre le financement du terrorisme). La raison en est qu'il n'est pas possible de suivre l'utilisation de l'argent après avoir envoyé depuis l'Australie" lit-on dans la déclaration.
Il a également été noté qu’une déclaration serait faite dès que des informations détaillées seraient reçues.