«En général, nous pensons que l’imposition des sanctions sur les pays n’est pas une juste étape réussie dans les relations intergouvernementales. Les résultats de la sanction deviennent dans tous les cas, la charge de la population du pays [sous sanctions]. Dans le même temps, on entrave la compréhension interétatique et intercivilisationnelle, le dialogue et la coopération, et crée inévitablement une certaine tension.
Lors de sa première visite officielle à Washington en avril 2006, le président azerbaïdjanais Ilham Aliyev a déclaré aux journalistes devant la Maison Blanche qu’il est contre les sanctions imposées sur l’Iran» a conclu Mammadov.
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