Il a souligné que la dévaluation de manat n’est pas connectée à des problèmes dans la gestion de l`Azerbaïdjan, mais est liée à l`impact négatif des processus économiques mondiaux:
« Mais comme le Président a noté, le gouvernement évalue les conséquences de la baisse des prix du pétrole comme un test pour l`économie de l`Azerbaïdjan. Les résultats annuels révèlent que l`Azerbaïdjan a réussi à laisser derrière ce test, malgré que les revenus dans le secteur de combustible énergétique aient diminué, le pays n`a pas arrêté son développement dynamique. Bien sûr, la diversification économique et le développement du secteur non pétrolier devraient être envisagés comme un facteur important. Si une telle décision n`a pas été prise dans le passé, une partie des revenus de ressources énergétiques n’a pas été dirigée pour le développement du secteur non pétrolier de l`économie, la situation aurait pu être vraiment mauvaise. Il confirme la clairvoyance du Président de l`Azerbaïdjan et son évaluation correcte envers les processus dans le monde, ainsi qu’il prouve clairement que les mesures nécessaires ont été mises en œuvre en temps opportun par le président afin de protéger la société contre les menaces mondiales».
Il convient de noter que la dévaluation est un cas négatif et naturellement a un impact négatif sur la situation financière des citoyens : « Cependant, les autorités azerbaïdjanaises ont mis en œuvre les mesures nécessaires pour renforcer la protection sociale de la population et a utilisé des mécanismes réglementaires appropriés à cette fin. Des efforts sont en cours pour stimuler l`économie nationale, renforcer la lutte contre la corruption, apporter un soutien global à l`entrepreneuriat, empêcher certaines personnes d`abuser de la situation actuelle à leur propre avantage » a-t-il noté.
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