T.Mariani, l`ancien ministre du Transport, critique fortement les sanctions de l`UE lors de sa visite en Russie

  28 Décembre 2015    Lu: 1424
T.Mariani, l`ancien ministre du Transport, critique fortement les sanctions de l`UE lors de sa visite en Russie
Un groupe de députés de l`opposition de la France a conclu une visite de deux jours à Moscou vendredi, le quatrième voyage de cette année Thierry Mariani, des républicains de droite(l`ancien UMP), la tête de la délégation.

Thierry Mariani, reconnu comme l`ami proche de Poutine, a réitéré sa position hostile à des sanctions de l`Union européenne contre la Russie pour son implication dans la crise en Ukraine.

La visite a coïncidé avec la décision de vendredi par les dirigeants européens réunis à Bruxelles, jusqu`à juillet 2016 pour étendre des sanctions économiques contre la Russie.

L`UE a imposé des sanctions économiques premier juillet 2014, après l`attentat d`un jet Malaysia Airlines, blâmé les rebelles pro-russes en Ukraine orientale.

En mars, les dirigeants européens ont convenu de lien entre les sanctions économiques Ukraine à la mise en œuvre complète d`un cessez-le feu négocié par la France et l`Allemagne à Minsk de la Russie.

Coprésident de l`Association du Dialogue français-russe, Thierry Mariani, a été invité par la Fondation russe de la Paix. Lui et ses délégués se sont réunis avec le président du parlement russe connu comme la Douma d`Etat et ministre des Affaires étrangères russe Sergueï Lavrov.

Mariani a regretté que le gouvernement français n`a pas débattu des sanctions.

"Je mets en avant une résolution à l`Assemblée nationale afin que le parlement français pourrait se prononcer sur le sujet au moins une fois", a t-il dit.

Il est particulièrement critiqué de la position de la France en ce qui concerne ses relations avec la Russie sur la crise syrienne.

Des négociations sont actuellement en cours pour mettre fin au conflit là.

«Politiquement, les sanctions ne servent pas un but", a déclaré Mariani. "La situation en Ukraine est toujours la même, sur le plan économique, ils sont désastreuses pour les relations entre l`Europe et la Russie et je ajoutent qu`ils ont maintenant devenu illogique. Comment pouvons-nous demander de l`aide d`un pays contre le terrorisme et dans le même temps le punir de sanctions? "

Un autre pays européen a exprimé des doutes sur les sanctions traitent aussi, pour une raison différente.

Plus tôt cette semaine, le premier ministre de l`Italie a mené une poussée de retarder roulant sur des sanctions économiques contre la Russie Matteo Renzi, au milieu des rapports que Rome a été frustré par ce qu`il considérait comme une position hypocrite par Berlin.

Un groupe d`Etats membres de l`UE, dirigée par l`Italie a critiqué un projet de gazoduc allemand avec la Russie vendredi, tâches de la Commission européenne avec les règles de l`énergie en Europe sonder s`elle répondait.

Officiellement connu sous le nom Nordstream 2, le gazoduc sous la mer Baltique a provoqué la colère de certains diplomates de l`UE accusent qui cherchent égoïstement une route d`approvisionnement d`énergie fiable de l`Allemagne avec Vladimir Poutine de la Russie, tout en faisant pression d`autres pays pour sauvegarder des sanctions économiques contre Moscou.

Renzi a déclaré vendredi après le sommet que l`Italie était encore nécessaire pour aider à résoudre en appuyant sur l`aide russe croyait que les questions internationales telles que le conflit syrien et la menace d`un groupe terroriste Etat islamique.

La chancelière allemande Angela Merkel a déclaré que le gazoduc Nord Stream était pas avant tout un accord commercial concernant les sociétés et les nations, une réclamation que Renzi a rejeté cela.


Said Musayev, rédacteur responsable pour AzVision en franaçais

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