Le petit-déjeuner
Les personnes qui ont pour habitude de manger le matin sont moins susceptibles de développer une maladie cardiaque que les autres. La consommation d'un petit-déjeuner équilibré permettrait également de diminuer le taux de cholestérol, la pression artérielle, ainsi que le risque de diabète et d'obésité. Plein de bons arguments pour ne plus sauter le repas le plus important de la journée.
Le nombre d'enfants
Les femmes ayant été enceintes plus d'une fois auraient davantage de risque de développer une fibrillation atriale au cours de leur vie. Ce trouble du rythme cardiaque peut provoquer l'apparition de caillots sanguins, une crise cardiaque et augmente également le risque d'accident vasculaire cérébral (AVC).
La science a également prouvé que les femmes ayant vécu quatre grossesses ou plus couraient 30 à 50% plus de risque de faire une crise cardiaque que les femmes n'ayant jamais eu d'enfant.
Bébé prématuré
Les femmes qui ont accouché prématurément ont également plus de risque de développer une maladie cardiovasculaire que les femmes étant arrivées au terme de leur grossesse. Si le fait de donner naissance à un bébé prématuré ne cause pas de maladie cardiaque, cela pourrait cependant être un bon indicateur pour savoir si vous appartenez à un groupe à risque ou non.
La cigarette électronique
Le formaldéhyde et l'acétone, présents dans certains liquides utilisés dans les cigarettes électroniques affectent la tension artérielle et augmentent le risque d'apparition d'un caillot sanguin.
Des douleurs à l'épaule
Selon une récente étude publiée dans le Journal of Occupational and Environmental Medecine, les personnes qui présentent divers facteurs de risque d'insuffisance cardiaque, tels que l'hypertension artérielle ou le diabète, souffrent souvent de douleurs à l'épaule.
Les chercheurs n'ont cependant pas encore été en mesure de déterminer le lien de causalité entre ces maux. Quoiqu'il en soit, "si une personne souffre de problème à la coiffe des rotateurs de l'épaule [tendon], cela pourrait être le signe qu'il y a quelque chose d'autre. Elle devrait alors soigner les facteurs de risque de maladie cardiaque dont elle pourrait être atteinte", explique Kurt Hegmann, l'auteur principal de cette étude.
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