La FIFA n’apprécie pas l’ingérence
Dans cette lettre envoyée par l’instance dirigeante du football international, il est reproché à l’Espagne une ingérence gouvernementale, ce qui est formellement interdit par les statuts de la FIFA. En clair, l’organisation dirigée par Gianni Infantino verrait d’un très mauvais oeil l’intervention du Conseil du sport espagnol (CSD) en faveur de nouvelles élections à la fédération espagnole. Le président de la Fédération espagnole, Angel Maria Villar, suspendu un an par ce Conseil, a été mis en examen pour des soupçons de corruption.
En 2010, la FIFA n’avait pas hésité à suspendre le Nigeria en raison de plusieurs interventions du gouvernement dans le fonctionnement de la fédération nigériane. Placée dans le groupe B, la Roja doit affronter le Portugal pour le choc du premier tour, le Maroc et l’Iran en Russie.
La participación de la selección española en el próximo Mundial de Rusia 2018 corre un serio riesgo https://t.co/q8YEUbq0qn
— EL PAÍS (@el_pais) 15 декабря 2017 г.
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