Les déclarations de John Kerry interviennent au lendemain des critiques de son homologue russe, Sergueï Lavrov qui a pointé du doigt jeudi devant la presse, à l’issue de son entretien avec Kerry, les pays occidentaux pour leurs positions envers l’affaire syrienne : « Les pays occidentaux parlent sans cesse du sort d’Assad comme condition à la coopération dans la lutte contre le terrorisme international. Mais nous, nous avons fermé l’affaire du sort d’Assad lors des négociations de Vienne, ce qui a été d’ailleurs évoqué dans les documents de cette conférence. Il incombe seulement au peuple syrien de décider du destin de son pays et de choisir son président. », a réitéré Sergueï Lavrov devant les journalistes.
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