Pourtant, après la mort de la star en 2009, la justice a tranché. Le médecin de l’artiste, Conrad Murray, a écopé d’une peine de prison pour homicide involontaire après avoir administré une trop forte dose de Propofol à son patient. Mais pour la jeune femme de 18 ans, cela ne suffit pas. Elle compte bien faire éclater la vérité au grand jour mais reste très évasive. "C’est un jeu d’échecs. Et j’essaie de jouer aux échecs comme il faut. C’est tout ce que je peux dire pour le moment à ce sujet", dit-elle dans ce long entretien.
Un mal-être perpétuel
Il y a trois ans, Paris Jackson a tenté de se suicider. Elle était d’ailleurs revenue sur cette période douloureuse il y a quelques mois dans une vidéo postée sur son compte Snapchat. En larmes, elle y expliquait avoir été harcelée par ses détracteurs sur les réseaux sociaux, ce qui l’avait poussé à envisager de mettre fin à ses jours.
Dans le média américain, elle confie avoir souffert de dépression, d’anxiété et de toxicomanie. "Je me détestais, je n’avais plus aucune estime de moi-même. Je pensais que je n’arriverai jamais à rien et que je ne méritais plus de vivre […]. J’étais folle, j’étais vraiment devenue folle", déclare-t-elle avant d’ajouter qu’elle n’avait reçu "aucune aide" à cette époque.
Je pensais que je n’arriverai jamais à rien et que je ne méritais plus de vivreParis Jackson
Paris Jackson avoue également que son père, décédé en juin 2009, a lui aussi été dépressif et que les médecins lui avaient prescrit les mêmes antidépresseurs qu’il avait pris, en précisant toutefois qu’elle ne prenait plus de médicaments.
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