MAE azerbaïdjanais: «L`Arménie est peut-être le seul pays qui est fier de ses traditions terroristes»

  17 Novembre 2015    Lu: 1132
MAE azerbaïdjanais: «L`Arménie est peut-être le seul pays qui est fier de ses traditions terroristes»
C’est l`Asala qui a commis les actes terroristes les plus sanglants et brutaux en France qui souffre aujourd`hui du terrorisme.

Aujourd`hui, la République de Azerbaïdjan fait face aux menaces du terrorisme et au terrorisme international menés par l’Arménie au niveau de l`État, Hikmat Hajiyev, porte-parole du ministère des Affaires étrangères de l`Azerbaïdjan a confié à l’APA, tout en commentant la déclaration que l`adjoint au Ministre des Affaires étrangères arménien Shavarsh Kocharyan a fait en réponse au discours du président Ilham Aliyev à Antalya.

Selon Hajiyev, le ministre adjoint des Affaires étrangères de l`Arménie qui a oublié le terrorisme arménien et la politique de soutien qu’Erevan mène au niveau de l`Etat, doit se rappeler que le « terrorisme arménien» est devenu l`objet de la recherche comme un domaine du terrorisme international, pour son passé historique et son «modus operandi».

« Nous recommanderions aux fonctionnaires arméniens, y compris biologiste-diplomate Shavarsh Kocharyan de se familiariser avec les rapports et études qui ont été pris de la classification du secret de l’Agence Centrale du Renseignement (CIA) et Département d`Etat des Etats-Unis sur le terrorisme arménien et diffusés sur l`Internet. Les mouvements armés de dachnak (à la fin du XIXe siècle), la décision de la Russie tsariste datée du 12 juin, 1903 (sur la confiscation des biens des églises arméniennes qui sont devenus l’asile et dépôt d`armes des terroristes arméniens), les massacres commis lors de la Première Guerre mondiale dans l`est de l`Anatolie et en mars 1918 à Bakou – des faits cohérents prouvant les bases historiques du terrorisme arménien. La nouvelle vague de terrorisme arménienne ASALA (à partir des années 70), et la création de ses sous-groupes comme des organisations terroristes «Groupe Orly», «Gegaron», « Union arménienne», «Union de la jeunesse arménienne », « Groupe de 9 juin », «Escadron de la mort», «Apôtre», «Groupe suédois » et ses actes terroristes sanglants commis au Moyen-Orient, en Europe et en Amérique du Nord. C’est l`Asala qui a commis les actes terroristes les plus sanglants et brutaux en France qui souffre aujourd`hui du terrorisme. Les attentats terroristes commis à 15 juillet 1983 à l’aéroport d’Orly - une preuve claire à cela. Depuis la fin des années 80, dans le cadre des revendications territoriales de Arménie contre l`Azerbaïdjan, les organisations terroristes arméniennes et les services spéciaux de l`Arménie ont commis plus de 32 actes terroristes dans le système de transport de l`Azerbaïdjan et d`autres établissements publics, des milliers de morts de personnes innocentes ont été victimes de ces attentats terroristes. La commission de ces actes terroristes par les services spéciaux arméniens a été entièrement prouvée par les moyens d`enquête. Le génocide de Khojali commis le 26 février 1992 contre des personnes innocentes avec la participation des groupes de l’ASALA - «Aramo» et «Arabo» - l’exemple le plus extrême de la politique terrorisme que l’Arménie mène au niveau de l’Etat. Actuellement, l’organisation terroriste ASALA et ses sous-éléments ont été pleinement intégrés dans la structure des services de renseignement de la République d`Arménie. Avec les actes terroristes commis le 19 mars et le 3 juillet 1994 par les services spéciaux arméniens au métro de Bakou, l’Arménie a jeté les bases du terrorisme au métro. Après 10 ans, sur la base des traditions des organismes de services spéciaux arméniens, des attentats terroristes ont été commis dans les métros de Madrid et de Londres ».

Selon Hajiyev, l’Arménie est peut-être le seul pays qui est fier de sa tradition du terrorisme : « Comme un exemple évident de cela, criminel de guerre nazi, le général Dro et membre de l`ASALA, terroriste Monte Melkonian ont été déclarés héros nationaux de l`Arménie et des monuments ont été érigés à eux à Erevan. Les actes des terroristes arméniens ont été inclus au programme des écoles secondaires et des universités comme un exemple de «l`héroïsme nationale » » a-t-il conclu.

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