En scannant notamment les mots associés au racisme sur Twitter, ce dernier doit permettre d’anticiper les faits de violence et géolocaliser les propos qui incitent à la haine. Les travaux seront menés en étroite relation avec une équipe de chercheurs de l’université de Cardiff (pays de Galles), à l’origine d’un premier prototype.
«Nous sommes en train de mettre en place un langage global pour identifier les propos haineux sous leurs formes les plus diverses», explique au Financial Times Peter Burnap, de l’université de Cardiff. D’ici trois ans, la police de Los Angeles pourrait donc être la première à tester cette nouvelle méthode de prédiction des crimes et délits.
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