Le livre a été écrit sur la base des matériaux du Comité d’Etat de la Sécurité de l’URSS et de l’Agence Centrale du Renseignement (CIA) des Etats-Unis, ainsi que des documents sur les affaires pénales concernant les crimes que les terroristes arméniens ont commis sur l’ensemble du territoire de la République d’Azerbaïdjan.
Dans le livre, l’auteur a prouvé qu’au cours du XXe siècle, le peuple arménien a utilisé la terreur comme un outil principal pour sa souveraineté nationale. Durant la période 1975-1999, les organisations terroristes arméniennes ont commis plus de 300 actes terroristes dans 22 pays du monde suite auxquels les Azerbaïdjanais, les Turcs, les Russes, les Français et d’autres nations ont été les victimes.
«On créait des obstacles pour la publication de ce livre. Même on m’accusait d’extrémisme. La publication de ce livre avait été interdite à Nijni Novgorod et Toula. Je tiens à remercier l’imprimerie Stolitsa de Moscou d’avoir consenti à la publication de ce livre», a-t-il souligné.
A noter que la monographie a été publiée en russe à 1000 exemplaires. Sa version anglaise avait été éditée l’an dernier à Berlin.
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