Ils ont alors pu établir que les traumatismes liés à l’enfance augmentent l’image négative sur le physique d`où un recours plus important à la chirurgie esthétique, indique la même source.
Pour établir ce constat les scientifiques ont recruté 100 volontaires qui avaient tous eu recours une, voire plusieurs fois, à la chirurgie esthétique. Ils ont été soumis à un questionnaire à 10 points reprenant une liste de violences et d’abus dont ils auraient pu être victimes ou témoins dans leur enfance.
81 % des personnes interrogées, soit qui avaient eu recours à une ou deux interventions de chirurgie esthétique, ont coché au moins une réponse dans la liste, la moitié des patients avaient quant à eux, coché plusieurs réponses, ce qui permet de conclure que les traumatismes liés à l’enfance augmentent l’image négative sur le physique, indique la même source.
L`étude établit, ainsi, que les situations traumatiques liées à l’enfance augmentent le risque de souffrir de dysmorphophobie, pathologie qui crée, chez le sujet qui en souffre, une sorte de fixation psychologique sur des complexes physiques le plus souvent très exagérés par le patient. Fixation qui peut, souvent, pousser la personne à avoir recours à la chirurgie esthétique à plusieurs reprises, note enfin "metronews"
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