"La déclaration du Premier ministre arménien concernant l'ouverture des communications en référence à la déclaration trilatérale démontre une fois de plus la négligence des dirigeants arméniens à l'égard des obligations qu'ils ont contractées.
Le paragraphe 9 de la déclaration trilatérale énonce clairement les obligations de l'Arménie en ce qui concerne l'ouverture des communications et la manière d'organiser le contrôle des liaisons de transport.
En général, si l’on considère les activités de l’Arménie qui ont violé d’autres obligations découlant de la déclaration trilatérale du 10 novembre, notamment le fait que l’Arménie n’ait pas retiré ses unités armées illégales de la région du Karabagh de l'Azerbaïdjan avant septembre 2023, le transfert d’armes et de munitions supplémentaires, d’équipements militaires et de mines terrestres vers les territoires azerbaïdjanais via le corridor de Latchine, créé uniquement à des fins humanitaires, il convient de rappeler en premier lieu la poursuite de la terreur des mines terrestres contre l’Azerbaïdjan.
Personne n’a oublié que la partie arménienne, qui avait déclaré ostensiblement reconnaître l’intégrité territoriale de l’Azerbaïdjan, propageait le régime fantoche qu’elle maintenait sur les territoires azerbaïdjanais et que le Premier ministre arménien avait félicité le régime de la junte séparatiste pour la soi-disant "indépendance" le 2 septembre 2023.
À cet égard, les questions rhétoriques du Premier ministre arménien sur l’activité du corridor de Latchine et le retour des réfugiés et des personnes déplacées à l’intérieur du pays ne sont que surprenantes et moqueuses."
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