Rappelant que c'est l'Azerbaïdjan qui a initié les négociations pacifiques avec l'Arménie à la suite de la Seconde guerre du Karabagh, le chef de l'Etat a dit qu'à cette époque, ni l'Arménie ni les autres pays en général n'avaient formé leurs propres idées sur ce que serait l'avenir.
Le président Aliyev a souligné que l'Arménie avait artificiellement prolongé la question.
« Jusqu'à présent - il y a eu 10 échanges de commentaires - depuis que notre premier projet a été envoyé en Arménie. ... au fil des mois, nous nous attendions en fait à ce que l'Arménie nous fasse part de ses commentaires plus rapidement. Mais nous avons vu exactement le contraire. Il a fallu attendre 70 jours pour recevoir la version finale de leur part. Toutes les dispositions non convenues ont été supprimées du traité de paix dans leur version. En d’autres termes, nous ne nous attendions pas à une démarche aussi primitive et inadéquate. Un certain nombre de points permettent de dire que l'Arménie, en fait, ne veut pas la paix, mais veut prolonger le temps », a affirmé le chef de l’Etat. (Azertac)
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