Il a noté que ce jugement et cette déclaration infondés et biaisés de la France reflétaient l’intention de ce pays de détériorer davantage ses relations avec l’Azerbaïdjan.
« Les allégations du ministère français de l’Europe et des Affaires étrangères selon lesquelles des citoyens français ont été détenus et emprisonnés de manière déraisonnable n’ont aucun fondement. Cette déclaration infondée est une déformation de la réalité.
Jusqu’à présent, un seul citoyen de la République française, Martin Ryan, a été arrêté en Azerbaïdjan, soupçonné d’avoir commis un acte (espionnage) interdit par l’article 276 du Code pénal de la République d’Azerbaïdjan. En outre, il est notoire qu’un autre citoyen français, le commis Tego Hugo, a été arrêté pour un acte commis dans le métro de Bakou », a souligné Hadjizadé.
« D’un autre côté, il est évident que les entraves imposées par la France aux journalistes azerbaïdjanais lors de leurs visites en France et même dans d’autres pays Schengen sont en totale contradiction avec les « droits de l’homme » promus par ce pays.
Tout le monde est bien conscient des violations du droit international, de la politique néocoloniale, des activités racistes, discriminatoires et islamophobes et des restrictions des droits de l’homme de la France, qui soulève des revendications sur l’autorité judiciaire et les droits de l’homme en Azerbaïdjan et tente de donner au monde une « leçon de démocratie ». Il serait donc plus bénéfique pour la France de tirer les leçons de telles actions », a-t-il ajouté.
Le porte-parole a une fois de plus exhorté la France à mettre un terme à la campagne de diffamation contre l'Azerbaïdjan.
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