"Le président de la République a insisté sur le fait que la libération sans délai des trois ressortissants français injustement retenus otages dans les prisons iraniennes depuis deux ans, était une exigence incontournable et une condition sine qua non de l’amélioration de nos relations."
Emmanuel Macron, ajoute l'Elysée, a souligné (...) que les attentes à l’égard des autorités iraniennes étaient importantes, les préoccupations nombreuses, et les différends profonds".
Cardiologue de 69 ans, Massoud Pezeshkian a été élu début juillet à la présidence de l'Iran et s’est engagé à favoriser une politique étrangère pragmatique. (Reuters)