« La constitution actuelle crée de graves tensions socio-psychologiques parmi les citoyens. En raison de circonstances connues, les citoyens arméniens considèrent aujourd'hui la constitution actuelle comme un document créé et mis en œuvre par l'élite dirigeante », a souligné le Premier ministre.
Pashinyan a ajouté que le principal problème n'était pas seulement ce qui est écrit dans la constitution, mais aussi la façon dont elle est perçue.
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