Le chef de l’Etat a dit : « L'année prochaine, nous espérons que la croissance de l'économie sera plus élevée. Mais ces chiffres ne reflètent pas réellement 100 pour cent de la performance économique ou du niveau de vie de la population. Nous connaissons les pays qui ont connu une croissance économique très faible, mais une économie très développée. Ainsi, plus votre PIB est élevé, plus il est difficile d’y ajouter de la croissance, en particulier dans la situation géopolitique actuelle, où deux de nos voisins et principaux partenaires commerciaux, la Russie et l’Iran, sont sous sanctions. Nous devons donc en tenir compte. Mais notre objectif et notre stratégie pour 2030 reposent sur nos propres ressources, notre propre capacité financière, ainsi que sur les investissements étrangers et locaux dans les domaines qui assureront la croissance économique dans les années à venir. » (Azertac)
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