« Nous espérions que ce problème serait résolu. Nous étions conscients qu’il s’agissait d’une situation anormale et, après la fin de la Seconde guerre du Karabagh, notre position était claire. Les personnes vivant au Karabagh ont deux choix : soit elles deviennent citoyens azerbaïdjanais et tous leurs cadres juridiques sont créés, soit elles choisissent d’autres endroits pour vivre. Il n’y avait pas d’autre issue », a souligné le président de la République. (Azertac)
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