"Il est désobligeant d'entendre de telles allégations de la part de l'Arménie, qui prétend être un pays démocratique, épris de paix et respectant le droit international, alors qu'elle n'abandonne pas ses prétentions contre l'intégrité territoriale et la souveraineté de l'Azerbaïdjan", a fait savoir le ministère.
Le ministère a souligné que les accusations portées contre l'Azerbaïdjan par l'Arménie, un pays qui, depuis près de 30 ans, a violé les droits fondamentaux de près d'un million d'Azerbaïdjanais, commis des actes de génocide et des massacres contre les Azerbaïdjanais, sur le "nettoyage ethnique" des Arméniens locaux volontairement réinstallés en Arménie, sont infondées et sont en contradiction flagrante avec les rapports et les déclarations des agences des Nations Unies qui ont visité la région et qui sont actives en Arménie.
"Cela démontre également à quel point le Premier ministre arménien est incohérent avec ses déclarations lorsqu'il a lui-même déclaré le 21 septembre lors de son discours à la population arménienne que les Arméniens de la région de Karabagh ne sont pas menacés. Dans le même temps, il n’est pas surprenant d’entendre des déclarations aussi contradictoires de la part du Premier ministre arménien, compte tenu de la réputation de ce pays dans la falsification brutale de l’histoire et des faits », selon le ministère.
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