« L’isolement de l’Arménie par rapport aux projets régionaux en raison de l’agression militaire et des revendications territoriales est bien connu de tout le monde. De plus, il semble que l’Arménie n’a pas l’intention de l’éviter, même après la libération de ses territoires par l’Azerbaïdjan. L’Arménie est bien consciente qu’elle a l’obligation d’organiser la libre circulation des citoyens, des véhicules et des marchandises dans les deux sens, tout en garantissant la sécurité dans cette direction. L’Arménie a également l’obligation d’assurer la construction de nouvelles communications de transport reliant les régions occidentales de l’Azerbaïdjan à la République autonome du Nakhtchivan.
Malheureusement, ce pays manque une telle occasion une fois de plus. L’accord sur la construction d’une route et d’un chemin de fer qui relieront l’Azerbaïdjan à la République autonome du Nakhtchivan via le territoire de la République islamique d’Iran, montre une fois encore que, contrairement à l’Arménie, l’Azerbaïdjan contribue constamment au développement des corridors de transports de la région en utilisant des itinéraires alternatifs », a souligné le ministère.
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