Les représentants du Conseil européen et du Parlement européen ont conclu un accord provisoire dans la nuit de jeudi à vendredi qui doit entrer en vigueur à la fin du mois.
Dans le cadre de cet accord, les entreprises européennes d'armement recevront des subventions pour augmenter leurs capacités de production et s'attaquer aux goulets d'étranglement.
Durant les négociations, la France a poussé pour que les fonds alloués à la production de munitions bénéficient aux industriel européens.
C'est la troisième étape d'un processus plus large de la part de l'UE visant à fournir plus de munitions et d'armes à l'Ukraine, notamment des obus d'artillerie de 155 millimètres, réclamés par Kyiv. (Reuters)