L'organisation de l’OPEP (13 membres) a indiqué, dans son rapport mensuel, que la production mensuelle s’est élevée à 27,882 millions de barils par jour, au cours du mois écoulé, contre les 27,715 millions de barils par jour, au mois de novembre dernier.

Selon le même rapport, 11 pays membres ont augmenté leur production, avec à leur tête l'Angola et l'Arabie saoudite, qui ont respectivement augmenté leur production de 85 000 et 61 000 barils par jour.

La production de l'Arabie saoudite - premier exportateur de pétrole au monde - a atteint les 9,932 millions de barils le mois dernier, contre les 9,871 millions de barils par jour, au mois de novembre.

L'Irak a augmenté sa production de 28 000 barils par jour, il en va de même pour les Émirats arabes unis, qui ont augmenté leur production du même quota.

L'Algérie a augmenté sa production de 11 000 barils par jour, le Congo de 7 000 barils, la Guinée équatoriale de 14 000 barils, le Gabon de 11 000 barils et l'Iran de 8 000 barils par jour.

Quant au Koweït, le pays a augmenté sa production de 21 000 barils par jour, alors que le Venezuela a augmenté la sienne de 20 000 barils par jour.

Pour leur part, la Libye et le Nigeria ont réduit respectivement leur production en décembre dernier de 84 000 et 43 000 barils par jour.

L'alliance OPEP+, qui réunit les pays producteurs de l'OPEP et d’autres pays producteurs extérieurs à celle-ci, continue d'assouplir ses restrictions quant aux quotas de production, en injectant 400 000 barils par jour, fixant ainsi la réduction de la production de pétrole à 3,4 millions de barils par jour, au cours de l’actuel mois de janvier.

Le 19 juillet 2021, les ministres de l’alliance OPEP+ ont décidé d'augmenter l'approvisionnement en pétrole de 400 000 barils, qui viennent s’ajouter chaque mois depuis septembre 2021 jusqu’au mois d’avril 2022. (AA)

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