"Ce n'est pas la première fois qu'Erevan viole les droits humains internationaux. Cependant, la situation actuelle est déjà devenue un chaos", a affirmé le politologue.
Il a souligné que la question de la menace des mines devait être soulevée au plus haut niveau.
"Le non-respect par l'Arménie des accords conclus, son refus de fournir des cartes des mines conduit à des incidents tragiques, qui ont entraîné la mort de citoyens azerbaïdjanais", a noté Mikhailov.
"La Russie, l'Azerbaïdjan, la Turquie et d'autres forces intéressées par le règlement du conflit du Haut-Karabagh doivent prendre des mesures pour faire pression sur l'Arménie, qui encourage la haine contre les autres peuples, héroïse le fascisme et est laissée de côté en raison de son idéologie néofasciste", a mentionné Mikhaïlov.
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