C'est ce qu'a déclaré le ministre russe de la Défense, Sergueï Choïgou, dans une interview avec l'agence Tengrinews du Kazakhstan.
"Ce n'est pas une opération facile. Je voudrais l'appeler ainsi, car elle avait beaucoup d'arguments, d'éléments, de motifs. D'autre part, l'implication de la Turquie dans ce domaine, il était donc nécessaire de parler et de travailler avec des homologues turcs. Croyez-moi, notre président a fait un effort titanesque pour que tout cela se produise. Et il fallait convaincre tout le monde. La principale chose qui se fait aujourd'hui est, tout d'abord, d'empêcher les gens de s'entre-tuer. Deuxièmement, j'espère que le moment est venu de passer à des contacts bilatéraux et de commencer à se parler. Je veux dire l'Arménie et l'Azerbaïdjan", a indiqué le ministre russe.
"Ici, bien sûr, beaucoup dépend des relations entre la Russie et la Turquie. De plus, de nouveaux joueurs apparaissent, d'anciens voisins apparaissent, ils apparaissent avec des offres. Je veux dire l'Iran. C'est le développement des infrastructures, des chemins de fer, de l'hydroélectricité et des liaisons de transport", selon M. Choïgou.
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