«Nous avons été accusés récemment d'intervenir dans le Haut-Karabagh afin de renforcer notre position géopolitique contre la Biélorussie, en particulier l'Occident, et de parvenir à un accord avec la Turquie pour diviser la région afin d'empêcher l'Occident de renforcer sa position dans la région. C'est la logique et la psychologie des analystes qui dominent actuellement en Europe et aux États-Unis, en particulier dans les îles britanniques», a ajouté Lavrov.
Selon lui, Moscou est prête à toute tournure des événements: «Hier, j'ai lu que le Congrès américain imposait des sanctions à la Russie et à la Biélorussie. Parce que de tels alliés n'aiment pas ceux qui veulent faire une « révolution de couleur » en Biélorussie. Je suis sûr qu'ils donneront plus de raisons à cela.»