Dans son entretien, le Premier ministre arménien a souligné qu'en dépit des tensions, les appels lancés par l'opposition n'avaient pas reçu un large soutien dans la société arménienne.
Selon lui, la plupart des gens, même lui-même, ne sont pas satisfaits de la situation actuelle mais il n'y a pas d'autre choix.
«Honnêtement, nous sommes tous mécontents de la situation. Cependant, nous devons comprendre quelles alternatives nous avons. Nous devons essayer de ne pas aggraver mais stabiliser et améliorer la situation. La société arménienne comprend qu'il n'y a pas de meilleure alternative réelle pour nous dans la situation où ce document (déclaration du 10 novembre) a été signé», a-t-il dit.
Quant aux appels de l'opposition concernant les élections législatives anticipées, Pashinyan a souligné la nécessité de se concentrer sur d'autres tâches, tout d'abord, la restauration de la stabilité politique et économique et de la sécurité dans le pays.
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