Il a partagé une publication à ce sujet sur son compte Facebook: "La police vient de venir me voir et m'a demandé de retirer le texte de ma lettre ouverte au Premier ministre arménien concernant l'arrêt de la guerre et entamer de pourparlers directs avec le pays voisin. Ils disent que si je ne retire pas la lettre, le montant de l'amende sera doublé. J'ai refusé de signer l'acte et exigé une justification écrite. Je ne vois aucun signe de violation de la législation de la République d'Arménie dans mon appel.
Depuis de nombreuses années, la police et les autorités de poursuite n’ont pris aucune mesure pour empêcher les calomnies et les menaces à mon encontre, qui se propageaient sur les chaînes de télévision. Ils n'ont même pas réussi à empêcher les sites Web et les utilisateurs de réseaux sociaux qui appelaient à me détruire physiquement. De plus, les autorités étaient inactives et ne m'ont pas fourni de protection juridique lorsque des hooligans sont entrés par effraction chez moi. Les criminels, qui ont abattu mon chien, restent impunis. Alors que le gouvernement arménien fait appel à la communauté internationale en lui demandant d'arrêter la guerre et de créer les conditions nécessaires à la reprise des négociations, en réponse à ma lettre, je montre la voie et exprime ma volonté de servir cet objectif… Et la police répond rapidement."
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