L'article souligne que l'activité de l'Armée secrète arménienne pour la libération de l'Arménie (ASALA) a été observée dans la zone de conflit du Haut-Karabagh. La présence de membres de l'ASALA dans la zone de guerre est une autre confirmation des mercenaires syriens combattant au côté de l'Arménie.
L'auteur écrit que l'ASALA et les terroristes syriens ont des liens historiques. La nouvelle du changement de nom potentiel de l'ASALA a eu lieu après la divilguation des photos qui prouvent la présence de rebelles syriens aux côtés des forces arméniennes dans le Haut-Karabagh. Certaines photos montrent des preuves de rebelles libyens. Ceci est confirmé par les uniformes portés par les rebelles.
L'article note un document qui démontre les activités de la terreur d'ASALA de 1983 aux États-Unis. Il convient de noter que l'ASALA a commis une série d'actes terroristes aux États-Unis. Le consulat de Turquie à Los Angeles a été la cible du terrorisme. Dans une lettre signée par l'ASALA et adressée au consulat turc, le groupe terroriste a déclaré que les athlètes turcs seraient tués s'ils participaient aux Jeux olympiques. Trois Arméniens, membres de l'ASALA, ont été arrêtés pour avoir posé un engin explosif devant un terminal de fret d'Air Canada. L'engin explosif a été désamorcé par une unité spéciale de la police de Los Angeles.
En outre, l'article a également noté des informations concernant la présence du PKK au Karabagh, soulignant qu'un soldat récemment capturé dans la zone de conflit a déclaré qu'il appartenait au PKK / YPG. Cette information est confirmée par la communication entre les organisations irakiennes PKK / YPG et les mouvements rebelles des groupes iraniens.
La presse juive a publié un article intitulé «L'Arménie a-t-elle ressuscité le groupe terroriste?». Les médias azerbaïdjanais ont également rapporté que l'ancien dirigeant de l'ASALA, Giber Minasyan, avait rejoint les combats entre l'Arménie et l'Azerbaïdjan. L'ambassadeur d'Azerbaïdjan en Turquie, Khazar Ibrahim, a également évoqué la nouvelle présence de l'ASALA sur le théâtre du conflit.
L'Armée secrète arménienne pour la libération de l'Arménie, a commencé ses opérations en 1975. Elle a été fondée par Hagopian, un Arménien de Syrie aux «inclinations marxistes» comme il a été décrit par le Washington Post en 1986. Il a été confirmé en tant qu'organisation terroriste pour de fréquentes attaques contre des diplomates turcs. Hagopian a transféré les bases d'organisation à Damas et à Athènes en 1982.
En 1981, l'ASALA a commis 15 attentats à Paris pour demander la libération du terroriste Monte Melkonian. La France a libéré Melkonian pour empêcher de futurs bombardements. Melkonyan a par la suite commis de nombreux crimes contre des Azerbaïdjanais pendant le conflit du Haut-Karabagh de 1988 à 1993. Melkonyan, devenu un «héros national», a été tué lors de la bataille d'Aghdam en 1993.
La reprise de l'activité de l'ASALA, ou la possibilité de renommer les dirigeants survivants du groupe terroriste, a un impact négatif sur la France, qui traverse déjà une crise d'extrémisme.
