Les commentaires concernaient le soutien de la Turquie à l’Azerbaïdjan au milieu des affrontements au sujet du Haut-Karabagh avec les séparatistes arméniens et l’acquisition de systèmes de défense antimissile russes S-400, les deux raisons pour lesquelles le président a déclaré que les États-Unis utilisaient comme prétexte pour imposer des sanctions à la Turquie.
Recep Tayyip Erdogan a rejeté les menaces américaines en affirmant : "Vous ne savez pas à qui vous avez Affaire. Imposez déjà les sanctions, quelles qu'elles soient."
Dans sa déclaration le président turc a rejeté les menaces affirmant que : "Nous ne sommes pas un Etat tribal, mais la Turquie".
Il a également dénoncé une publication raciste d'un député hollandais, indiquant que "le fascisme ne fait pas partie de notre culture et la justice sociale est effective chez nous".
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