«Si les autres producteurs veulent limiter ou s`accordent à geler l’excès d`offre, cela peut avoir un impact, sur le marché, mais l`Arabie saoudite n`est pas prête à diminuer sa production», a commenté Adel al-Jubeir, réaffirmant la politique pétrolière, suivie par Ryad, depuis plus d`un an et demi.
Sans aucune allusion à la hausse, sans précédent, de la production de pétrole de l`Arabie saoudite, durant ces deux dernières années, le ministre saoudien des Affaires étrangères a prétendu que les prix du brut «seraient déterminés par l`offre et la demande et par les forces sur le marché».
L’Arabie saoudite et le Qatar, l`année dernière, ont joué un rôle décisif, dans la réduction des prix de pétrole, et cela, dans l’objectif de porter préjudice à l’Iran et à la Russie, qui s’opposent aux politiques régionales de Doha et de Riyad, en Syrie et au Yémen.
C’est la raison pour laquelle que le prix du pétrole de l’OPEP a baissé, en 2013, à moins de 30 dollars, pour chaque baril.
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