«Il nous a proposé sept conditions. Qui es-tu pour nous proposer une condition?! Voyons quelles sont tes conditions maintenant! Tu te mets à genoux en demandant un cessez-le-feu. Le cessez-le-feu a été rétabli pendant deux ans à la demande du Premier ministre arménien. Il m'a dit que la situation à l'intérieur était difficile, qu'il était très pressé, et a demandé du temps pour résoudre ce problème parce qu'il avait de nouvelles idées. Il a dit qu'il avait tracé une ligne sur tout ce qui s'est passé dans le passé, avait demandé une chance, pendant un certain temps. J'ai dit OK. Mais que s'est-il passé alors? Un an plus tard, il a déclaré que «le Karabakh, c'est l'Arménie». Qu'il dise maintenant que «le Karabakh, c'est l'Arménie» », a fait savoir le chef de l'Etat.
Le président Aliyev a annoncé ses conditions de résolution du conflit.
«Les appels que j'ai reçus et les conversations que j'ai eues pendant les appels sont, bien sûr, confidentiels et, dans certains cas, ils me demandent quelle est notre condition. Ma condition est la même: quitter nos terres, et alors arrêter la confrontation. Pas en paroles mais en actes. Qu'il dise qu'il reconnaît l'intégrité territoriale de l'Azerbaïdjan, comme indiqué dans les principes fondamentaux. Qu'il dise qu'il retirera ses troupes des territoires occupés, comme indiqué dans les principes fondamentaux. Qu'il dise qu'il s'excuse auprès du peuple azerbaïdjanais et que le Karabakh n'est pas l'Arménie», a-t-il ajouté.
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