La déclaration rappelle qu'à un moment où le monde souffre du COVID-19, les forces armées arméniennes ont violé le cessez-le-feu dans la région de Tovouz en Azerbaïdjan le 12 juillet 2020.
«Puis avec leur provocation le 27 septembre 2020, ils ont tiré intensément sur nos positions, les colonies résidentielles, à l'aide de canons de gros calibre, de tireurs de mines et de diverses installations d'artillerie le long du front. À la suite de cette provocation, des soldats et des civils ont été tués et blessés. Cela se produit également aux yeux d'un monde civilisé et de pays qui luttent pour la démocratie», peut-on lire dans le communiqué.
Le Congrès a souligné que les tirs perpétrés par l’Arménie contre des installations civiles, des hôpitaux et des maisons constituent une violation majeure des Conventions de Genève de 1949.
Il a également déclaré que l'Arménie ne respectait pas la Charte des Nations Unies et la communauté internationale avec ses actions agressives.
En conclusion, le Congrès a appelé les pays du monde et les organisations internationales à influencer l'Arménie occupante pour la libération des territoires azerbaïdjanais occupés et à assurer la mise en œuvre des résolutions pertinentes du Conseil de sécurité des Nations Unies.
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