Hier, lundi 15 février, à l’occasion de l’inauguration d’une exposition à la gloire du pilote de Formule 1, Sabine Kehm, la porte-parole de la star, s`est exprimée.

Le 29 décembre 2013, l’annonce avait surpris les fans de Formule 1. Et pour cause, Michael Schumacher était victime d’un terrible accident de ski à Méribel, en Savoie, et était alors atteint d’un traumatisme crânien. Après avoir passé cinq mois dans le coma, le septuple champion s’était finalement réveillé avant de regagner le domicile familial, où il est depuis entouré d’une équipe de médecins. Alors que l’état de santé de Michael Schumacher en inquiète plus d’un, les proches de la star se font toujours plus discrètes. Ainsi, récemment, Wili Weber, l’ancien manager du champion, avait demandé à ce que des nouvelles soient plus régulièrement communiquées. "Corinna m’empêche d’avoir le moindre contact avec Michael", avait-il lâché dans les colonnes du quotidien allemand Bild. Puis, il avait par la suite estimé que "les fans de Michael Schumacher apprécieraient d’avoir des nouvelles sincères concernant son état de santé".

"Nous devons espérer qu’il sera un jour de retour avec nous"

Hier, lundi 15 février, il semblerait que son appel ait été entendu. En effet, alors que l’ensemble du clan Schumacher inaugurait à Maubourg, en Allemagne, une exposition à la gloire du Baron Rouge, Sabine Kehm a pris la parole. "Michael est le pilote qui a eu le plus de succès dans l’histoire de la F1 et, parfois, lors de jours comme celui-ci, il est bon de s’en rappeler", a alors lâché la porte-parole de la star. De là, celle qui avait auparavant menacé la presse a poursuivi : "Bien entendu, Michael n’est pas ici et bien entendu, il nous manque. Nous savons ce qui lui est arrivé et rien en pourra changer cela". Puis, Sabine Kehm a adressé un touchant message d’espoir quant à une possible guérison de Michael Schumacher : "Nous devons l’accepter et espérer qu’avec un soutien et une patience continus, il sera un jour de retour avec nous. La course, c’était sa vie, et personne d’autre que lui n’aurait plus aimé être là aujourd’hui".

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