De nombreux appels adréssés aux structures étatiques et gouvernementales des pays où opèrent les organisations de la diaspora azerbaïdjanaise, ainsi qu'aux organisations internationales influentes, soulignent que les mesures prises par le régime pénal sous les auspices de l'Arménie dans les territoires occupés de l'Azerbaïdjan sont en contradiction avec la Constitution azerbaïdjanaise et le droit international, ainsi que les pourparlers de paix.
La lettre envoyée par l'Association australo-azerbaïdjanaise (AAA) au gouvernement australien attire l'attention sur le fait que les séparatistes arméniens opérant illégalement dans le Haut-Karabakh occupé ignorent les normes du droit international et les exigences de la communauté internationale.
Dans une lettre de réponse envoyée au président de l'AAA, Mikaïl Oïta, par le ministère des Affaires étrangères et du Commerce du gouvernement australien, il a été déclaré que le gouvernement australien soutenait l'intégrité territoriale de l'Azerbaïdjan et ne reconnaissait pas le Haut-Karabakh en tant qu'État indépendant. La lettre indique que le gouvernement australien ne reconnaît pas les soi-disant élections tenues par les séparatistes arméniens le 31 mars et soutient les efforts du Groupe de Minsk de l'OSCE en vue de résoudre pacifiquement le conflit du Haut-Karabakh.
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