Amazon a demandé jeudi le chômage partiel pour ses six sites français dont l'activité a été suspendue, une demande refusée par l'administration, a-t-on appris lundi auprès de la direction du géant américain de la logistique et du ministère du Travail.
La direction a indiqué à l'AFP qu'elle avait «fait une demande de chômage partiel pour six sites, soit environ 10.000 personnes, qui n'a pas abouti». Le ministère a confirmé avoir reçu une demande «jeudi» et l'avoir refusée.
Le Figaro