Le coût du chômage partiel, qui s'élève à plus de 20 milliards d'euros, est «un investissement», a estimé le ministre à l'ouverture des débats devant l'Assemblée sur le deuxième projet de budget rectificatif de l'Etat. «Nous avons refusé politiquement, économiquement, les licenciements de masse», a-t-il appuyé.
AFP