Ce n’est que trois ans après les faits, en 2017, que le pré-adolescent a révélé la vérité à sa mère. Celle-ci a alors décidé d’alerter la police qui a procédé à des tests ADN, afin de prouver la paternité de l’enfant.
Accusée de viol et d’agression sexuelle, la baby-sitter a plaidé coupable et écopé ce mercredi 16 octobre de 20 ans de prison. Aujourd’hui âgé de 17 ans, c’est le père qui s’occupe de l’enfant. Il l’amène à l’école chaque matin avant d’aller lui-même au lycée. (Ulyces)