En réalité, a écrit Adel al Jubeir sur Twitter, «des nations sœurs ont cherché à calmer la situation, et nous leur avons dit que la position du royaume était toujours d'aspirer à la sécurité et la stabilité dans la région».
L'Arabie saoudite accuse l'Iran d'être à l'origine des attaques contre des infrastructures pétrolières saoudiennes le 14 septembre, ce que Téhéran rejette. Le prince héritier Mohamed ben Salmane a dit, dans un entretien diffusé dimanche par la chaîne américaine CBS dans son émission «60 Minutes», privilégier une solution politique plutôt que militaire au conflit qui oppose Riyad et Téhéran.
«Une désescalade doit venir du camp qui propage le chaos par le biais d'actions hostiles dans la région», a ajouté Jubeir. «Nous avons communiqué notre position à l'égard du régime iranien, que nous énonçons toujours clairement, comme dernièrement lors de l'Assemblée générale des Nations unies».
Reuters