Dix jours après les attaques, le site d'Abkaïk fonctionne à 4,92 millions de bpj et celui de Khouraïs à 1,3 million de bpj, précise-t-on de même source.
Dans les jours ayant suivi les attaques revendiquées par les rebelles Houthis du Yémen, la production saoudienne avait été amputée de moitié, soit environ 5% de la consommation quotidienne de pétrole dans le monde, entraînant une flambée des cours.
Ryad et ses alliés occidentaux accusent l'Iran d'être responsable de ces frappes qui ont fait franchir une nouvelle étape dans l'escalade des tensions dans le Golfe. (Reuters)