Des écoles, des hôpitaux et des marchés ont été atteints par ces bombardements, a-t-elle précisé en jugeant "hautement improbable" que ces objectifs civils aient été touchés "par accident".
Les forces syriennes ont lancé leur offensive fin avril contre la région d'Idlib, dernière enclave de l'insurrection, en affirmant répondre à des violations de la trêve par les rebelles.
Moscou, allié de Damas, assure que les forces gouvernementales ne font que repousser des offensives terroristes de combattants du groupe djihadiste Al Qaïda.
Reuters