Un responsable européen a précisé que 21 Etats - dont l'Allemagne, la France et l'Italie qui ont toutes les trois un important secteur automobile - sur 28 avaient voté contre.
Ce résultat n'est guère une surprise car le 8 avril, la commission des Transports du Parlement européen s'était également prononcée contre cette technologie wifi, apportant ainsi son soutien à ceux qui prônent l'adoption de la norme concurrente 5G.
L'exécutif européen cherche à établir des standards pour les voitures connectées à internet, un marché estimé à des milliards d'euros par an pour les constructeurs automobiles, les opérateurs télécoms et les équipementiers de réseaux.
La technologie wifi ITS-G5 était également mise en avant par NXP, Autotalks et Kapsch TrafficCom.
La norme de 5G, baptisée C-V2X, est soutenue par Daimler, Ford, PSA, Deutsche Telekom, Ericsson ou encore Intel.
Reuters