« Le ministre des Affaires étrangères Elmar Mammadyarov, répondant aux questions des représentants des médias après la réunion de Washington, a déclaré: les négociations entre l’Arménie et l’Azerbaïdjan en tant que parties au conflit, que ce soit sur les principes de Madrid, leur version actualisée, les principes de Kazan ou le « plan Lavrov », sont accompagnées de tension sur la ligne de contact. Toutefois, le dialogue intensif s’est poursuivi. Autrement dit, le processus de négociation ne devrait pas devenir l’otage de la situation sur la ligne de contact. Le fait de ne pas comprendre cela et de ne pas tirer les bons résultats de ce qui a été dit confirme une fois de plus l’idée que la partie arménienne cherche des excuses pour éviter de faire avancer le processus de négociation », a-t-elle souligné.
« Nous rappelons que la cause des tensions sur la ligne de front est la présence illégale des forces armées arméniennes sur le territoire de l’Azerbaïdjan. Et pour mettre fin à cette tension, il est nécessaire de faire avancer le processus de négociation pour résoudre les questions de fond; et rien d’autre! Selon la logique de la partie arménienne, pendant la période de calme relatif dans la zone de front, fournie sur la base d’un accord mutuel obtenu après la réunion de Douchanbé, nous avons dû obtenir des résultats concrets dans les négociations. Cependant, tout est manifestement faux. Une partie intéressée par un règlement pacifique du conflit ne devrait pas chercher d’excuses pour éviter des négociations concrètes axées sur les résultats, mais au contraire faire preuve de volonté et de détermination politiques. C’est exactement ce en quoi consistent nos attentes du côté arménien et les espoirs de la communauté internationale », a affirmé L. Abdullayeva.
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