L'amende pourrait être ramenée à environ 2,4 milliards de yens (un peu moins de 20 millions d'euros) si Nissan soumet des documents à la SESC avant le début de l'enquête formelle, d'ici la fin du mois, et reconnaît que des rapports mentionnant la rémunération de Carlos Ghosn étaient incorrects, a ajouté la source.
Un porte-parole de la SESC s'est refusé à tout commentaire. Nissan n'était pas disponible dans l'immédiat.
L'amende, dont les médias japonais avaient fait état précédemment, porterait sur une période de quatre ans jusqu'en mars 2018, toujours selon la source, les années précédentes étant couvertes par la prescription.
Carlos Ghosn, architecte de l'alliance automobile entre Nissan et Renault, a passé plus de 100 jours en détention à Tokyo et, libéré sous caution, doit être jugé au Japon pour plusieurs accusations de malversations financières. Il clame son innocence.
Reuters
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