L'Observatoire syrien des droits de l'homme (OSDH) avance pour sa part un bilan de dix morts.
Les médias gouvernementaux n'ont pas fait état de bombardements dans cette région. L'enclave d'Idlib est censée être une «zone de désescalade» protégée, instaurée l'an dernier à la suite d'un accord entre les principaux soutiens du gouvernement de Bachar el-Assad, l'Iran et la Russie, et la Turquie.
Reuters