«L`idée qu`un enfant, vivant au début du travail, meurt au cours des heures suivantes pour des raisons complètement évitables devrait être considérée comme un scandale en matière de santé», estime Richard Horton, rédacteur en chef de The Lancet.
Malgré les progrès réalisés, la baisse enregistrée entre 2000 et 2015 a été plus lente que celle du taux de mortalité maternelle (3% par an) ou celle des enfants de moins de cinq ans (4,5%), notent par ailleurs le professeur Joy Lawn et ses collègues de l`Ecole de médecine tropicale et d`hygiène de Londres.
D`après les données recueillies dans 18 pays, les anomalies congénitales n`expliquent que 7,4% des mort-nés.
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