Le célèbre photographe bakinois Boris Dobin a déménagé en Israël en 1992. İl vit actuellement dans la ville Migdal-ha-Emek.

Azvision.az informe que, le photographe né et a grandi en Azerbaïdjan a dit que, il n`a pas oublié tout de même Bakou. Boris Dobin est un témoin direct de la tragédie du 20 Janvier.



Maintenant, B.Dobin, le membre de l`Association de “Israël-Azerbaïdjan” se souvient ces jours comme ça: “Je suis venu à Bakou en Janvier 1990 d`İsrail. Malgré que la situation était très tendue, la vie avait continué. Le 19 Janvier, le soir je suis allé à l`hôtel “İnturist” avec mes amis. Mais à 10 h un silence soudain a eu lieu. La télévision et la radio se taisaient. La situation nous paraît étrange et nous sommes allés à la maison. Après que, j`ai atteindré mon appartement dans l`avenue de Moscou, on a commencé à entendre des coups de feu dans la ville”.



Le célèbre photographe a indiqué que, il n`a pas oublié encore le choc de la tragédie. “Le 21 Janvier le chef de bureau m`a téléphoné et m`a dit que, nous devons promener dans les rues pour clarifier les dommages causés à l`infrastructure de la ville. Ces scènes étaient terribles. Les tanks ont detruit Bakou. Il était effrayant de marcher dans la rue. Les rues étaient pleines de cadavres. Il était clair que, les soldats ont tué les gens désarmés et montrant aucune résistance. Le massacre commis par l`armée était un vrai brutalité. Parce que, nous ne pouvons pas nommer ces brutalités autrement. Il est impossible d`oublier ces moments. Après le 20 Janvier, l`obscurité a couvert notre ville”.



Boris Dobin a dit que, les représentants de différentes nationalités ont toujours vécu dans de bonnes relations de voisinage en Azerbaïdjan. “Je suis né et a grandi parmi les Azerbaïdjanais. Je parle couramment la langue azerbaïdjanaise et la douleur de cette nation est ma douleur. En pensant de tout ça, je crois que, les personnes coupables étaient les politiciens de la même époque.

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