Ils ont constaté que 3 800 d'entre eux avaient été enregistrés par le bureau du CICR à Bakou, les autres par le bureau d'Erevan et par la mission du Haut-Karabakh.
Il a également été déclaré que 80% des personnes disparues étaient des militaires.
On a noté que le CICR préparait tous les projets mis en œuvre avec les autorités compétentes: "Les informations recueillies sont enregistrées auprès de la Commission d'Etat en charge des prisonniers de guerre, des personnes portées disparues et des otages. S'il y aura besoin d'exhumation à l'avenir, ces informations seront utilisées."