Seuls les chauffeurs possédant une licence bruxelloise de taxi et un luminaire sur le toit de leur véhicule peuvent y effectuer des courses.
Il s'agit là d'une clarification d'une décision prise initialement en septembre 2015, qui avait conduit à l'interdiction de l'un des deux services de l'entreprise américaine, Uberpop.
"L'interdiction existait déjà, mais Uber avait méconnu la première décision en l'interprétant à sa manière, et donc il a fallu demander à la juge de bien préciser que pour faire du taxi, il faut travailler avec des voitures qui ont une licence de taxi", a expliqué Michel Pêtre, patron des Taxis Verts, sur RTL info jeudi matin.