«Nous sommes prêts à poursuivre le projet, s’il y a un intérêt convaincant de la part des partenaires européens et turcs» a-t-il expliqué.
Le projet de gazoduc Turkish Stream, qui implique la construction d’un pipeline consistant en deux lignes parallèles de la Russie jusqu’à la Turquie, à travers la mer Noire, intervient en remplacement du projet South Stream précédemment annulé.
Les négociations, qui ont été suspendues, le mois dernier, après l’incident de l’avion de chasse russe abattu par la Turquie sur la frontière turco-syrienne, pourraient reprendre si un «intérêt» existe encore pour cette entreprise.
Novak avait annoncé, le 3 décembre, que le projet avait été suspendu, tandis que le président turc Recep Tayyip Erdogan a déclaré, le 5 décembre, que la Turquie a décidé de mettre de côté le projet pour quelques temps au motif qu’il ne répondait pas aux exigences.
Le président russe Vladimir Poutine avait, pour sa part, déclaré, le 17 décembre, que les négociations pourraient se poursuivre seulement si l’Union européenne (UE) joue le rôle de garant pour le projet.
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